Nous n’avions pas encore terminé notre voyage en van aménagé l’an dernier, que nous nous étions promis de s’offrir régulièrement cette expérience de partir sur la route.
S’autoriser à lâcher prise, à vivre dans le présent pleinement, à être à l’écoute de nos besoins et nos envies.
Et se retrouver, nous deux. Mais aussi soi.
Se reconnecter. A la nature, et à ce qui fait sens.
Renouveler les énergies en somme.
Notre premier voyage itinérant, il y a un an (tu peux retrouver le 1er volet ici) nous avait beaucoup apporté.
Au delà des paysages et des jolies rencontres, c’était surtout incroyablement fort sur le plan personnel (je te laisserai découvrir tout ça en replongeant dans les articles passés).
Et nous nous réjouissions là, de découvrir en quoi ce voyage allait nous permettre de cheminer, ensemble et individuellement.
Bien que nous fassions attention l’un et l’autre à nous préserver des temps ensemble, pour nous retrouver, pour rester connectés,
rien n’est comparable à ce que l’on peut vivre sur ces parenthèses magnifiques que l’on s’accorde lors des voyages itinérants.
Vivre intensément le présent, se créer des souvenirs communs, loin du quotidien.
Apprendre toujours plus à se connaître, de l’intérieur. Soi. Et en résonance, l’un et l’autre.
Et là , tout particulièrement, parce que le voyage de cette année va permettre de renouer avec des racines…
En ligne de mire, le Nord Portugal. Sur les terres de la famille paternelle d’Alexandre, où nous attendent ses parents pour nous permettre de nous imprégner de cette culture, de cette histoire qui est davantage mienne aujourd’hui.
Mais comme vous le savez, je suis bavarde, et ce voyage a duré 3 semaines…
Alors pour que cela reste confortable à la lecture, vous allez découvrir ce voyage en 3 parties :
les Pyrénées et Pays-Basque / le Nord Espagne / Le Nord Portugal
Et bien sûr, une fois encore, nous sommes partis avec un véhicule loué à Van-Away, notre partenaire de confiance, celui grâce auquel nous osons de plus en plus agrandir notre zone de confiance et vivre notre aventure en se sentant en sécurité.
L’aventure débute à Toulouse, là où nous allons récupérer le van California auprès de Van-Away, une agence de location de véhicules, spécialiste des vacances itinérantes. Notre partenaire de confiance.
Nous sommes le samedi 04 Mai 2019. Et nous avions prévu de débuter ce voyage en visitant la ville de Toulouse.
Alors en route…
Tiens, j’ai moins pleuré que l’an dernier en quittant la maison (oui, les départs sont toujours difficiles pour moi). Peut-être parce que je sais davantage comment je vais réagir sur ce type de voyage (physiquement et moralement). Je suis davantage en confiance.
Arrivée à Toulouse pour 16h30. A peine les affaires déposées dans le AirBnb, nous repartons pour découvrir la ville.
ça y est ! le voyage commence !
Sous la pluie… et dans une ambiance particulière, mais il commence !
Dans le métro, nous entendons parler des manifestations en cours au centre-ville. Visiblement, les « gilets jaunes » sont remontés à bloc, à écouter les bruits qui courts.
Nous sommes effectivement accueillis à la sortie du métro par un hélicoptère stationnaire et croisons bon nombre de manifestants quittant le centre-ville. Ouf, ça se termine. Néanmoins, les CRS restent sur le pied de guerre, et sont très présent. Une ambiance vraiment décalée avec notre état d’esprit en quête de sérénité et d’émerveillement.
La place du Capitole n’en est pas moins somptueuse. Qu’est-ce que ça doit être sous le soleil ! Toutes ces couleurs !
Nous explorons les petites ruelles autour de cette place centrale, de jolies rues roses (et bleues claires), vivantes, pleines de boutiques, et de jeunes !
On tombe par hasard sur l’édifice du Musée des Jacobins : grandiose ! lui aussi tout en briques rouges.
On a également eu la chance de pouvoir rentrer dans la salle de l’Opéra du Capitole.
Nous rentrons finalement assez vite au logement, se mettre au sec et au chaud, manger ce qu’on vient d’acheter en boulangerie, et prendre un bain.
Un bon bain de 45′ pour moi…
Du coup plus d’eau chaude pour Alexandre ! Le pauvre ! On tente de faire chauffer un fond de bain grâce à la bouilloire… pas une réussite… Oups…
Espérons que le chauffe-eau fonctionne cette nuit, car demain… en route pour l’aventure !
Ayé ! C’est aujourd’hui que l’aventure (re)commence ! Youhooouuu !!!
Clic clac, on plie bagage et on file retrouver notre maison sur roues. Purée ce qu’elle nous a manqué.
Accueil efficace de Jean-Philippe (Van Away Toulouse), 1h après on peut prendre la route !
Avec pour nouveauté, une boite auto… pour le plus grand plaisir de Monsieur.
On quitte Toulouse pour emprunter sans tarder les petites routes… de plus en plus petites même, attirés que nous avons été par un panneau indiquant « vallée au Lèze ». C’est vert, calme, peu peuplé. Un peu vallonné. Ces petits reliefs me font grand bien, je me sens m’apaiser.
Un moulin en haut d’une colline sera notre spot pour déjeuner (on est à St Sulpice s/ Lèze).
1er repas dans le van, et nos repères sont vite repris. On a finalement l’impression que c’était hier qu’on a quitté notre maison sur roues (oui, bon, ok. Ce n’était pas le même, ni le nôtre, mais quand même, on s’y sent comme chez nous). Et puis cette vue sur les Pyrénées enneigées, vraiment parfait pour un premier spot.
Des voies dans un haut-parleur annonçant des matchs nous rappellent que nous sommes en terre de rugby !
Une petite visite du moulin et on repart.
Ces premiers moments de notre voyage en van aménagé nous procure déjà de jolies sensations de liberté.
On passe par Pamiers pour changer des toutes petites routes (aussi jolies et vallonnées soient-elles… on a envie d’être surpris davantage, on se sent assoiffés de découvertes). Bon, ce n’est pas à Pamiers que nous trouverons de quoi nous extasier (est-ce une ancienne ville ouvrière ?). Essayons Foix… Perdu, ce n’est pas là non plus qu’on s’attardera… Quelques minutes quand même pour en faire le tour et s’imprégner de l’ambiance, et boire un coup dans un troquet pour utiliser les toilettes.
Direction Saint-Girons. On s’arrête d’abord à la Cité de Saint-Lizier, une jolie petite ville… et son panorama sur les jolis sommets blancs, et les toits de vieilles tuiles. Aaaah voilà !!! Nos yeux pétillent. On se sent attirés par ces sommets… vivement qu’on s’en rapproche.
On ne s’attardera pas à Saint-Girons. Un stop France Passion nous attend pas loin. Un éleveur de cochons gascons propose de la charcuterie… et aime visiblement bien discuter.
C’est joli ce spot. Bon, on n’a pas la vue sur les hautes montagnes, mais le saucisson était bon.
Et un premier dîner au soleil ! Quel régal ! Aaaah, les vacances ont bel et bien commencées. On se surprend déjà à accepter de prendre le temps, de relâcher.
Autour de nous, il y a beaucoup d’animaux. Certains à cloches au loin, des vaches, des cochons, des chiens, des poules et des coqs…
On verra bien qui nous réveillera en 1er.
22h30… on va se coucher et bouquiner. Le rythme road trip va-t-il se reprendre ?
(L’an dernier, nous avions remarqué que nos rythmes biologiques avaient totalement changé pendant le voyage en van aménagé, se calant sur le soleil).
Quel bonheur de retrouver ces sensations magnifiques de se réveiller dans un cocon au plus près de la nature.
J’ai le sourire aux lèvres dès que mes paupières s’ouvrent (et ceux qui m’ont déjà croisé avant mon café du matin savent combien c’est exceptionnel…).
Je n’ai qu’à tendre le bras pour ouvrir le rideau occultant, et découvrir le lever du soleil, à travers la buée matinale.
Savourons ce premier matin… les sols sont encore givrés, la nature se réveille tout doux, nous aussi.
Reprenons la route, en direction des Hautes Pyrénées.
Au programme : une rando pour rejoindre le lac d’Ôo, un lac d’altitude non loin de Bagnères de Luchon.
Après une petite halte sur un marché pour faire le plein de bons produits, on arrête le van aux abords d’une rivière. Nous admirons au loin les sommets enneigés.
Ce que l’on ne savait pas encore, c’est que c’est précisément là où la rando nous mènera.
Aaaaah pour se remettre en forme, rien de tel… ça grimpe, ça grimpe, ça grimpe ! ça tire dans les fesses et les mollets… mais la vue au fil de la balade nous donne toujours envie de poursuivre plus loin. Les paysages sont splendides et ressourçant.
C’était sans doute pas la meilleure période pour découvrir ce lac, mais nous aurons pris un bon bol d’oxygène, au milieu des stalactites.
Nous voilà désormais bien dans l’ambiance pyrénéenne.
La journée est si belle qu’on veut en profiter pleinement.
Alors en route pour les cols mythiques !
Le col d’Aspin pour commencer.
Alexandre attendait ce moment là, il se doutait que les paysages allaient nous subjuguer. Moi je ne savais pas du tout à quoi m’attendre…
Déjà, je suis surprise par la « non-exploitation » touristique de ces lieux mythiques du Tour de France depuis le début du XXème siècle. C’est vraiment resté authentique, très nature.
Le col d’Aspin se monte par une petite route étroite, qui révèle, lacet après lacet, la magnifique chaîne des Pyrénées. Somptueux. Montée d’émotions.
Arrivés en haut, l’autre versant nous révèle d’autres sommets et notamment le Pic du Midi. A couper le souffle. Je ne m’attendais pas à être ainsi touchée par les Hautes Pyrénées. (ni à faire de telles rencontres… à découvrir en photo)
On se fait la réflexion avec Alexandre que c’est finalement ce qui nous fait sûrement le plus vibrer, les très hautes montagnes. Dans cet environnement, même dans les plaines et les vallées, les villages, l’ambiance paisible, l’espace, … on se sent vivants, reliés.
Nous poursuivons par le col du Tourmalet…
Avant de trouver un joli P4N* avec vue sur le Pic du Midi au coucher du soleil.
Un des multiples plaisirs du voyage en van aménagé, s’offrir des nuits dans des endroits sublimes, ressourçants, inspirants.
*P4N = Park4Night est une application communautaire qui recense les lieux pour se poser, payants, gratuits, précise les services disponibles sur place, etc. Une sacré ressource lors de nos road-trips.
En route pour le Cirque de Gavarnie !
« C’est une montagne et une muraille tout à la fois », écrivait Victor Hugo (selon le guide Michelin). C’est exactement le ressenti qui nous saisit oui.
Le petit village au pied du Cirque exploite ce joyau (parkings payants, bus à gogo, restos, boutiques,…).
Ça tombe bien, le départ de notre rando est plus loin. Au col des Tentes. Alors on monte… mince, col fermé, impossible d’accéder au point de départ.
Tant pis, on profite doublement du panorama magnifique que l’on y découvre, et des marmottes qui l’habitent.
Quel bonheur de pouvoir compter sur ce voyage en van aménagé pour aller ainsi au plus près de la nature, et se sentir libres et autonomes quoi qu’il se passe.
Le vent à cette hauteur est très usant, on ne tarde pas à redescendre, et prendre la direction d’Argelès-Gazost, pour aller au marché. On espère bien y trouver d’ailleurs le fameux gâteau à la broche qui nous fait saliver depuis déjà des kilomètres.
De là, on apprendra que le col d’Aubisque est fermé, et que l’on doit donc renoncer au programme de l’après-midi : les Gorges de Kalkuetta. Décidément, déjà en Slovénie on avait dû renoncer aux Gorges. Mais on avait appris au cours de ce voyage que ces imprévus laissent de la place aux jolies surprises.
Alors direction Pau.
On découvre une jolie ville accueillante, de jolies boutiques, et un champion du monde confiturier. On prend plaisir à flâner.
Jusqu’à arriver au boulevard des Pyrénées et sa magnifique vue sur la chaîne ! Régal.
On se pose ensuite, par hasard, dans un mignon petit camping très tranquille à Mauléon-Licharre, au bord de la rivière.
Une douche bien chaude avant la pluie. On profite de l’électricité et du wifi pour regarder un film. Puis un chapitre et au lit.
Il se trouve que Mauléon est la capitale de l’espadrille, mais on est le 8 mai, et les ateliers sont fermés, dommage.
Heureusement, une boutique dans le petit coeur de ville nous accueille. La propriétaire est très gentille, et nous explique qu’il reste 7 artisans spécialisés dans le village, qui cousent encore à la main, que toutes les matières utilisées sont naturelles, et qu’ici tout le monde porte des espadrilles (les puristes directement la corde sur le sol, sans la fameuse semelle en caoutchouc).
On se choisit chacun une paire, avant de filer à Saint Jean Pied de Port.
On est dégoutés de le voir sous cette météo vraiment maussade.
Le village est très mignon et on a même eu une accalmie de pluie pour le visiter.
Ça fait déjà quelques dizaines de km qu’on sent la culture basque : les couleurs des maisons qui apportent beaucoup de cohérence, d’unité, et un vrai caractère aux paysages ; les radios qui entonnent des chants basques, les terrains de pelote basque dans chaque village… pas de doute, on y est !!!
Saint Jean Pied de Port reprend les codes basques au sein de ses remparts, et se montre très tourné vers les pèlerins de Compostelle.
Une petite halte au coeur du Pays basque (les brebis dans le pré juste derrière pour rappel) pour prendre des forces à l’abri de la pluie. Aaaah quelle chance d’emmener partout sa cuisine ! Un vrai point fort du voyage en van aménagé.
L’après-midi, nous visitons Espelette (encore un parking gratuit, déjà à St Jean, bravo !), qui nous a bien plu. C’est piéton, rempli de boutiques tournées vers le piment bien sûr.
Puis, nous découvrons Ainhoa…
Disons le clairement : c’est joli oui, mais quelle circulation ! ça casse tout le charme. On repart rapidement.
Il n’est vraiment pas tard (16h) et pour une journée où l’on ne devait rien faire, on a déjà fait beaucoup de choses. Allons nous reposer pour profiter de la suite du voyage.
Il y a un France Passion* vers la ville où nous avons rendez-vous demain pour une randonnée en quad : Saint Pée sur Nivelle, alors go.
* France Passion est un recueil de producteurs proposant des espaces de stationnements pour vans, camping-cars, etc. Une belle occasion de rencontrer des passionnés, de manger des bons produits, et de poser le van en toute sécurité.
Nous rencontrons deux dames (mère et fille ?) qui font une délicieuse tomme de vache et de brebis !
On discute un peu, on se prend un bon bout de tomme pour les prochains jours, et on se pose… dans un joli coin retiré avec vue sur les vallons.
et le soleil apparaît ! Parfait pour se détendre et se reposer.
4 campings-cars nous rejoindront plus tard, mais tout est calme. On profite de la vue, de l’apéro local, et des dernières lueurs dans les vallons.
Nous nous sommes réveillés tôt, et avons le temps d’aller découvrir tranquillement la petite de St Pée ; trouver des toilettes, acheter du pain… et découvrir le terrain de pelote basque.
A la fin de notre tour de village, il y a un groupe d’élèves et leur professeur sur le terrain. Ils parlent en basque et semblent apprendre ce sport. Dommage que le temps ait filé, on aurait bien observé cette jolie transmission de tradition plus longuement.
Nous sommes chaleureusement accueillis par Rando Quad Pays Basque. Un petit tour d’initiation… et c’est parti ! Alexandre au guidon, je me fais promener sur tous types de terrains (route, chemins, forêts, plaines avec vues de dingue…).
Quel bonheur de pouvoir s’imprégner ainsi. On sent que notre guide est respecté par les locaux, il nous expliquera plus tard que Rando Quad participe à l’entretien des chemins (privés, communaux,…) et que c’est ainsi que tout le monde s’y retrouve. Il sensibilise également à l »environnement au départ et au fil de la balade ; nous avons le sentiment de faire partie d’un tout.
Ce fut un moment vraiment agréable, du fait des paysages superbes, de l’expérience en quad, mais aussi de l’agréable compagnie du guide.
N’ayant pas pris mon appareil photo, vous n’en verrez rien ici, mais je vous invite vivement à vivre l’expérience, avec des personnes aussi respectueuses que Rando Quad.
Ils nous indiquent d’ailleurs un bon resto pas loin : Zuzulna.
On y déguste une viande délicieuse ! Une friandise de faux filet de boeuf pour Alexandre, et un axoa de veau (prononcer « achoa ») pour moi. La patronne (très agréable elle aussi) se fait un plasir de me faire découvrir cette spécialité. La viande est vraiment très tendre, délicieux.
On profite ensuite d’être dans le secteur pour aller au train de la Rhune avant qu’il ne soit trop tard. C’est vraiment une excursion à laquelle je tenais.
C’est authentique train ç crémaillère de 1924, construit pour faire profiter aux touristes de l’époque, de la vue au sommet de la Rhune, 1er mont élevé des Pyrénées (environ 900m).
Le voyage aller dire 35 minutes, pendant lesquelles le paysage se révèle peu à peu.
On croise également des brebis, des pottoks (chevaux sauvages) et des vautours.
Et soudain, au détour d’un virage, la côte apparaît ! La plage se dévoile à perte de vue d’un côté, on distingue bien les différents villes et villages. Et de l’autre, la chaîne des Pyrénées s’offre à nous. Magnifique !
Je ne vois pas passer les 35′, et n’ai même pas peur de la pente à 26%.
La vue au sommet est époustouflante. Quel beau pays qu’est la France !
On redescend environ 40 minutes plus tard, une fois les poumons bien remplis d’air pur.
Puis on se met en quête d’un camping vers Saint Jean de Luz (lessive, douche…).
J’ai même le loisir de profiter de la piscine chauffée ! Grand luxe, d’autant plus qu’il pleut et l’air se rafraîchit vraiment.
On débute notre petit circuit découverte de la côte basque par Bayonne.
Nous découvrons (au delà des travaux), une ville vivante, colorée, populaire, joyeuse.
Les halles ne sont pas à la hauteur de nos attentes, on flâne plutôt dans les petites rues. Et qu’est-ce qu’on s’y sent bien à Bayonne !
3h presque pour en faire le tour, en prenant notre temps et en se concentrant sur le centre-ville.
Encore une fois, on se réjouit d’avoir fait le choix d’un van aménagé pour notre voyage, il est si facile de pouvoir s’immerger autant en ville qu’en pleine nature !
On redescend par la côte pour enfin voir l’océan !
Purée ! le nombre de surfeurs ! Ce n’est pas une légende.
On se trouve un petit coin, au milieu de tous ces surfeurs en quête de sensations, pour manger ;
avant de poursuivre notre route. Nous cherchons à redescendre le long du littoral le plus possible, pour profiter de cette belle ambiance.
Stop à Biarritz. Je ne suis toujours pas séduite par cette ville. Mais l’environnement (roches, falaises, océan, plages,… est vraiment beau.
Prochain arrêt à Guétary. Rapide mais agréable. C’est beaucoup plus paisible. Même l’océan.
Il nous reste quelques forces, on pousse jusqu’à Saint Jean de Luz.
On se pose dans un salon de thé pour reprendre quelques forces supplémentaires et goûter le fameux gâteau basque.
L’architecture est très diverse à St Jean de Luz, sur le port également. Mais le tout a beaucoup de charme. J’ai plaisir à retrouver mes repères dans cette petite ville qui me rappelle mon adolescence ♥
Nous rentrons au camping, apéro Tomme et jambon de Bayonne acheté ce matin. On a également goûté le jambon de porc noir : un déliiiiice !!! ça fond sur la langue. Mais à + de 200€ le kilo, on a passé notre tour…
Ce soir, nous resterons bien au chaud dans notre van aménagé, à préparer la prochaine étape de notre voyage.
Voilà pour cette 1ère semaine de road-trip, consacrée à la découverte des Pyrénées et du Pays-Basque.
Nous avons vraiment pris beaucoup de plaisir à nous imprégner de ces univers variés, mais authentiques, ancrés dans des traditions et où la valeur de transmission se ressent fortement.
Demain, nous passons la frontière pour poursuivre le voyage en Espagne.
On vous raconte tout ça très vite, parce que nous avons beaucoup beaucoup beaucoup apprécié l’Espagne du Nord, et on se réjouit de partager avec toi quelques souvenirs.
A bientôt donc pour la suite !
Ah !
J’ai encore quelque chose à partager avec vous !!!
Si vous aussi vous aimez la vie au grand air, que vous avez plaisir à découvrir de jolis coins de France et d’ailleurs, à vivre l’instant qui se présente,
et que vous avez le bonheur de partager tout cela avec vos enfants,
avez-vous déjà pensé à vous offrir des souvenirs sincères de ces temps merveilleux que vous partagez ?
C’est précisément pour cela que j’ai pensé vous proposer le REPORTAGE de VACANCES !
Vous, vous profitez pleinement, vous êtes dans le présent, avec vos enfants…
Et moi, je vous crée des souvenirs, pour l’avenir,
pour le moment où vous souhaiterez replonger dans ces instants qui vous ont rapprochés,
qui font votre histoire de famille.